En tant que chargés de pastorale, les ministres doivent respecter la responsabilité individuelle des membres de la communauté et éviter toute forme de paternalisme. Les conseils financiers, juridiques, médicaux, psychologiques ou thérapeutiques ne relèvent pas de la pastorale. Dans de tels cas, il convient impérativement de s’adresser à des spécialistes en la matière. Le mode de vie personnel est l’affaire des frères et sœurs. Les ministres ne sont pas autorisés à prendre des décisions concernant les affaires personnelles des frères et sœurs. Dans le cadre de la pastorale, les ministres soutiennent bien entendu les fidèles qui le souhaitent par des conseils empathiques dans les différentes situations de leur vie, ainsi que par la prière et la compassion.^[76]